samedi 25 août 2007

Voilà comment le site fait sa présentation


HISTOIRE DE L'OBSERVATOIRE MIXBEAT

et du site MIXBEAT


Les débuts à la main

Au commencement, en juillet 2000, voit le jour l'un des premiers blogs de Paris digne de ce nom. Il est fondé par un certain Carl de Canada qui s'en sert pour faire de la publicité pour des soirées qu'il organise. Il ne connaît pas encore les stytèmes de blogs. Son blog est mis à jour à la main.

La publication sous forme de blog

Un an plus tard, il découvrira les systèmes de publication blog grâce à Thierry Théolier alias THTH, fondateur du Syndicat du Hype, qui l'initie à la publication en ligne BLOGGER dans les locaux du site Parissi. À l'époque, en France, on ne parlait pas des blogs comme on en parle aujourd'hui. Le mot "blogueur" ne faisait pas encore partie du langage courant.

Les fréquentations record

Après 5 années d'existence, en 2005, le site mixbeat était bien ancré dans le paysage mondain parisien. Son fondateur, Carl de Canada, en avait fait un lieu où l'on vient voir la tête des gens qu'il a photographiés dans les cocktails, et dans les fêtes parisiennes. Où l'on vient lire les commentaires impertinents des visiteurs sous les photos. Où l'on vient aussi lire des anecdotes tirées de la vie privée même de son fondateur. On y voit des photos de ses coucheries. Ce qui lui vaut d'être souvent attaqué pour atteinte à la vie privée par les personnes concernées. Il se retrouvera plusieurs fois au commissariat, et une fois au Tribunal pour avoir écrit dans un de ces récits qu'une certaine fille lui avait démontré de très belles aptitudes en matière de fellation.

La naissance de Paris Ragots & Potins

À l'été 2005, le site se dote d'un forum et le baptise "Paris Ragots & Potins". Ce forum devient le terrain de jeu d'un gossip à l'américaine, jamais vu dans l'Hexagone. Le site atteint des niveaux de fréquentations records. Et avec commencent les problèmes.

Les menaces de mort sur la personne du fondateur

Suite à des menaces de mort contre sa personne, Carl de Canada décide de rompre tout lien avec le site. Il annonce la mise à disposition du nom de domaine à son échéance. Le nom de domaine est récupéré par un collectif d'internautes français installé à Londres qui propose de continuer la ligne éditoriale du site sous le pseudonyme historique Alain Proviste (un jeu de mots sur l'expression à l'improviste).

Transfert du nom de domaine et contrepartie

Aucun échange d'argent n'a eu lieu. En compensation, le fondateur du site bénéficiera de l'usufruit des recettes du site (Google Adsense, dons des membres) pendant une période de 5 ans. Il conserve aussi la propriété intellectuelle de MIXBEAT, comme marque de commerce, inutilisée pour le moment, mais déposée à l'INPI début 2005.

Le nouveau site mixbeat des nouveaux propriétaires

Les nouveaux propriétaires du nom de domaine mixbeat.com se réjouissent de la mention du site dans le livre LES DESSOUS DE LA PRESSE PEOPLE et en profitent pour refaire le site. Dans la foulée, un nouveau forum voit le jour dans le style de l'ancien PARIS RAGOTS & POTINS. Le site est hébergé sur les Iles Tuvalu. La rédaction se fait de partout dans le monde. Sur papier, la rédaction est à Londres. Elle est assurée par L'Observatoire Mixbeat, une officine impartiale dans la guerre froide entre la Presse People et les Stars.

L'Observatoire Mixbeat, impartial, indépendant, intouchable

L'Observatoire Mixbeat se propose d'arbitrer la relation amour-haine entre les peoples, et la presse people. Ses actions s'inscrivent dans un cadre Guignolesque, et uniquement dans ce cadre. De la même façon qu'on attaque pas les Guignols en justice, on n'attaque pas L'Observatoire Mixbeat en justice.

Attaquer l'Observatoire Mixbeat en justice revient à se battre contre du vent. Car L'Observatoire Mixbeat n'existe pas. Elle n'existe pas pour la justice française. Elle n'existe pour la justice d'aucun pays. L'Observatoire Mixbeat ne roule pour personne. Il est libre, indépendant, sans ressources.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

"Attaquer l'Observatoire Mixbeat en justice revient à se battre contre du vent. Car L'Observatoire Mixbeat n'existe pas. Elle n'existe pas pour la justice française. Elle n'existe pour la justice d'aucun pays. L'Observatoire Mixbeat ne roule pour personne. Il est libre, indépendant, sans ressources."

disent-ils... c'est faux et archi faux. on peut attaquer mixbeat mais ça doit demander beaucoup d'énergie et de patience.
en droit, un site web tombe sous la loi du pays où il peut être consulté (et non créé).
étant consultable en france, le site mixbeat tombe sous le coup de la loi française c'est aussi simple que ça.
mixbeat (et son fondateur-responsable Carl Zephir alias Carl de Canada) ment quand il se prétend inattaquable.
mixbeat aimerait créer sa notoriété en faisant plus fort que la presse people. malheureusement ses attaques sous de faux noms risquent de lui couter très cher sans le rendre pour autant connu. mixbeat soif de notoriété mais le sahel à la place du cerveau.