jeudi 27 septembre 2007

Apprenons à décoder mixbeat

Ce matin, sur mytho-beat, on pouvait assister à un curieux échange. Un invité venu provoquer l’administrateur demandait : « alors carl , tu as eu un problème ce week end ? pourquoi t'en parle pas ici, hein mec ? c'est la rumeur qui circule chez tes amis du fou-rhum ? c'est vrai, dis nous en plus mon pote, allez parle, ils ont dit que tu fais la grande gueule mais qu'en fait tu t'es comporté comme une larve, c'est vrai aussi »
Et, selon une technique bien éprouvée maintenant, le grand vizir de harceler le questionneur en utilisant toute la panoplie de ses faux pseudos.
Gégé (12h16) : «
Hé le fou d'en face, raconte au lieu de faire le mytho, pourquoi tu racontes pas ? Raconte-nous hi hi C'est le fil de la Presse People ici, et Carl est un people. Alors racontez c'était quoi le problème. »
admin (12h18) : « Raconte, j'ai envie de savoir c'était quoi le problème. J'suis au courant de rien. Carl est à Milan en ce moment. Il ne m'a rien dit. Raconte je n'effacerai pas ton post. Vas-y raconte ! »
timide (12h19) : « Carl a eu un problème ? C'était quoi le problème ? Raconte-nous tout ça ici. »
anatoli (12h22) : « Nous sommes tous là, prêt à t'écouter. C'était quoi le problème qu'il a eu ce weekend le Carlito ? »
admin (12h28) :
« C'est dingue. T'es devenu muet ? Raconte, dis-nous tout. Aurais-tu peur du Carlito ? N'aie aucune crainte. Raconte quel est le problème qu'aurait eu Carl ce weekend. »
Mariebell (12h30) :
« Bah alors, pourquoi il ne dit plus rien ? Vas-y parle. »

Admirez le travail ! Six membres qui, en l’espace d’un quart d’heure, se sont tous donnés le mot pour répondre à l’importun. Pendant ce temps, pas un seul « vrai » membre de mytho-beat n’a bougé.
C’est un procédé classique utilisé par le dépotoir à ragots pour déstabiliser, ridiculiser (aux yeux de qui ?) puis éconduire les visiteurs trop curieux. Dans le même temps, on ne répond pas à la question qui dérange et on passe à autre chose.
Au dernières nouvelles, l’échange continuait, avec intervention d’un « vrai » membre, le stupide et vulgaire Sean Bateman, venu simplement enfoncer le clou.
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