Une journée sur mixbeat/Coca

Peu de choses intéressantes à commenter sur mixbeat/Coca ce matin. C’est normal, nous sommes lundi. Ce répit nous donne l’occasion de revenir sur les activités du week end et aussi de répondre à l’avalanche de messages qui nous sont parvenus.

Sean Bateman a fait l’objet de pas mal de commentaires. A chaud, les réactions sont très mitigées. Il y a les irréductibles, qui ne lui trouvent aucune excuse, et d’autres, qui ont suivi son dialogue avec Omar Harfouch et qui découvrent un autre homme derrière le masque qu’il a décidé de porter sur mixbeat/Coca. La vérité est sans plus nuancée. Pour l’instant, nous nous abstiendrons de tout jugement définitif tant que nous n’aurons pas totalement cerné le personnage. Ce qui est certain, c’est qu’il consacre une partie de ses loisirs à tenter «d’exister» sur mixbeat, même s’il s’en défend. Ces attaques contre notre blog, son appui sans réserve à l’administrateur du camp d’en face, devraient, à priori, nous pousser à le considérer comme un irréductible et à le traiter comme tel.

Autre membre de mixbeat à susciter la polémique : Sandro Gitan-Fornèse. On nous dit hier «Par contre je ne comprends pas votre sympathie pour Sandro l'homosexuel qui balance un max de posts diffamatoires. Etes vous vraiment objectifs ? ». Nous n’avons aucune sympathie particulière pour lui mais nous travaillons à mieux le connaître. Il y a quelque chose dans le personnage du prosélyte gay qu’il est censé interpréter qui cloche. Pour l’instant nous ne pouvons pas en dire plus. Par contre, ce qu’il y a de nouveau, en ce qui le concerne, c’est qu’il est sorti de son cadre habituel, ce week end, pour donner son sentiment sur la campagne diffamatoire dont est l’objet Benjamin Lemaire. Et, pour une fois, pour ne pas hurler avec les loups. Attitude inhabituelle de la part d’un mixbeateur de base, qui méritait d’être signalée. Donc aucune estime mais un désir d’approfondir notre connaissance de l'individu.

Autre demande : « Est ce que Bigdick s'est manifesté auprès de vous ? Il a mis 24 euros dans le site pour se faire bannir quelques jours plus tard c'est lamentable ». Dans tous les cas, les échanges qui se font en dehors de la rubrique commentaire – sauf demande expresse des intéressés – ne sont pas diffusés sur le blog.

Autre question pertinente : « Y a-t-il des preuves de consommation ou revente de stupéfiants contre monsieur de canada ? ». D’abord, si nous avions des preuves de ces accusations, ce n’est pas sur ce blog que nous en ferions état, c’est à la police et à la justice de s’en saisir. Simplement, quand on lit attentivement tout ce qui s’écrit sur mixbeat/Coca, le sujet semble s’inscrire en permanence entre les lignes (sans mauvais jeu de mot). Souvenez vous de ce post de l’administrateur qui, à propos d’un projet de scénario présenté à Alain Chabat, confiait lui avoir aussi fourni autre chose. Il est de notoriété publique que quelques mixbeateurs sont aussi des consommateurs ou des fournisseurs de produits particuliers. Devant la justice, le gourou de mixbeat/Coca ne ramassera peut-être pas le maximum pour le caractère illicite de son site mais plus certainement, comme Al Capone en son temps, pour des activités autrement plus lucratives.

Quant à la fameuse journée de mercredi (et pas mardi), c’est une question qui n’a pas encore été traitée par le Comité Anti-Mixbeat. Elle le sera aujourd’hui et nous vous en reparlerons. Mais il y a d’autres échéances cette semaine, pour l’administrateur de mixbeat/Coca, plus discrètes, et que nous suivrons avec attention.